Après avoir découvert (tardivement ) que Bob Marley n'avait pas été malgré les paroles de ses chansons, le rastafari avide de justice sociale, peace & love etc
Le portrait idyllique n’est plus de mise depuis que sa veuve Rita s’est livrée dans une autobiographie (No Woman No Cry : My Life with Bob Marley, 2004) à des révélations… Parfois, Bob aurait été l’auteur de violences conjugales à son encontre. Avec douleur, elle s’épanche aussi sur les humiliations subies en présence de certaines de ses maîtresses et conquêtes.
Dans sa jeunesse, celui qui s’appelait Nesta et pas encore Bob, fruit morganatique d’un père anglais et d’une petite paysanne descendante d’esclaves, avait essuyé des insultes racistes comme “little yellowman” (sale petit jaune) ou “white bastard youth” (jeune bâtard blanc) à cause d’une pigmentation jugée trop claire par les autres gosses de Trenchtown. Il en avait souffert, notamment lorsque le frère de sa première petite amie avait interdit à cette dernière de fréquenter “ce sale Blanc”.
La vérité, c’est que Bob Marley est intouchable parce que ses chansons sont intemporelles. Mieux : universelles
Et j'adore !!!
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