Rdv rue du 1er Film Lyon 8, rue parallèle au cours Albert Thomas et donnant sur la place Ambroise Courtois. Rdv sur le trottoir juste avant le passage allant au café Lumière.
Ne pas vouloir fonder une famille est une attitude très marginale. La pression sociale est forte, à plus forte raison pour les femmes, pour nous encourager et même forcer bien malgré nous à ce choix de vie à notre insu, par simple mimétisme et conformisme social. Il n'y a pas nécessairement de l'égoïsme à faire un tel choix. En effet, triste peut être la vie d'enfants dont les parents ou l'un des deux sont/est indifférent(s), embarrassé(s), voire encombré(s) par ce(s) petit(s) êtres. Ressentir un profond désir de donner la vie avec tout ce que cela implique (risque d'enfant en situation de handicap ou ne correspondant pas du tout aux attentes des parents) est nécessaire pour assumer pleinement cette charge. Sans compter que bien plus que l'usage des voitures et des avions, ce sont les enfants qui sont les plus grands vecteurs de pollutions diverses et difficile de se prémunir contre toute les stratégies marketing visant à faire succomber leurs cerveaux immatures à tout un tas de produits et services gadgets.
Si vous êtes dans le doute sur d'éventuels choix procréatifs ou/et que vous avez besoin de soutien dans ce choix de vie Childfree, vous êtes les bienvenu.e.s à cette rencontre lyonnaise Childfree que je vous propose au jardin Lumière si la météo le permet ou dans un bar à proximité.
Je m’intéresse au choix Childfree au sens strict comme au sens large : le simple fait de prendre le temps nécessaire (qui peut être long) pour réfléchir à l’opportunité d’un choix procréatif, limité à un ou deux enfants de préférence, entre selon moi dans le « champ gravitationnel » du choix Childfree, surtout bien-sur si y renoncer n’est pas exclu au bout du compte ou adopter un petit malheureux (qui ne serait peut-être pas né si ces géniteurs avaient pris ces précautions)
Précision importante : Cette rencontre n’est pas dédiée à une hostilité envers les enfants, les parents, même les familles nombreuses. Cette rencontre n’est pas non plus dédiée aux violences familiales.