L’évasion commence avec Frédéric Khodja, dont les territoires symboliques et poétiques bousculent nos repères et notre perception de l’espace et nous transportent vers des milieux indéfinis et atemporels : visions vaporeuses et sensibles de paysages lointains qui semblent pourtant si familiers.
Vanessa Fanuele évoque quant à elle une nature sauvage, luxuriante, parfois menaçante, à l’écosystème ondoyant et fragile. Teintés de féérie, les grands panoramas naturels de l’artiste, d’où surgissent quelques silhouettes mystérieuses, nous offrent l’expérience d’une errance contemplative.