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Poutine menace le monde !
Auteur : MRFUSION  
209/322

Date :    15-05-2024 01:34:54


Conflit Ukraine 13/05/24 : offensive RUS sur Kharkov

www.youtube.com/watch?v=JkkDLkJXikI
Auteur : MRFUSION  
210/322

Date :    15-05-2024 15:19:27


Guerre en Ukraine : ce que l’on sait de l’accord secret qui aurait pu mettre fin au conflit en avril 2022 Le Parisien Article de Pierre Hardy • 23 h • 4 min de lecture

Déjà révélé en mars par le Wall Street Journal, et évoqué en juin par Vladimir Poutine, ce projet d’accord, daté du 15 avril 2022, est issu d’un premier cycle de négociations entre la Russie et l’Ukraine.

Initié quelques jours à peine après le déclenchement de la guerre, le 24 février, il avait conduit les représentants des deux parties à se rencontrer, d’abord en Biélorussie, puis en Turquie.

Ces pourparlers avaient abouti à un projet d’accord le 15 avril, à un moment où l’armée russe était confrontée à une résistance imprévue de l’Ukraine.

D’une longueur de 17 pages, le document comptait 18 articles et prévoyait des garanties de sécurité pour Kiev en échange de contreparties.

L’Ukraine devait ainsi renoncer de façon « permanente » à intégrer toute alliance militaire, à commencer par l’Otan, selon Die Welt.

Elle ne devait jamais « recevoir, produire ou acquérir » des armes nucléaires, pas plus qu’elle ne devait autoriser la présence d’armes ou de troupes étrangères sur son territoire.

L’accord ne s’opposait pas, en revanche, à l’adhésion de Kiev à l’Union européenne.

En contrepartie, l’Ukraine bénéficiait d’un mécanisme de sécurité, similaire à l’article 5 du traité de l’Otan, prévoyant l’intervention d’États garants à ses côtés en cas d’ « attaque armée ».

Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies (la Chine, les États-Unis, la Russie, la France et le Royaume-Uni) étaient cités comme garants.

Annexée par la Russie en 2014, la Crimée était exclue de l’accord et devait ainsi rester dans le giron de Moscou.

Les territoires séparatistes de Donetsk et Louhansk n’étaient pas non plus concernés, mais leur sort devait encore être tranché par Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine lors d’une rencontre au sommet.

Les deux chefs d’État devaient également discuter des modalités du retrait des troupes russes d’Ukraine, et dessiner les contours de la future armée ukrainienne.

Leur rencontre n’a finalement jamais eu lieu

Selon Die Welt, Moscou aurait posé de nouvelles exigences après les pourparlers qui se sont déroulés le 29 mars 2022 à Istanbul, en Turquie, que Kiev n’aurait pas acceptées.

La Russie aurait notamment demandé que le russe soit reconnu comme la deuxième langue officielle de l’Ukraine, que les sanctions adoptées contre elle soient levées et que les procédures engagées auprès de la Cour pénale internationale soient abandonnées.

Vladimir Poutine a quant à lui attribué la responsabilité de l’échec des négociations à Kiev et à ses alliés occidentaux.

« Après que nous avons retiré les troupes de Kiev, comme nous l’avions promis, les autorités de Kiev, comme le font habituellement leurs maîtres, ont jeté tout cela dans les poubelles de l’histoire », avait-il affirmé en brandissant le document lors d’une rencontre en juin avec des dirigeants africains à Saint-Pétersbourg.

« Ils l’ont abandonné », avait ajouté le maître du Kremlin, dans des propos relayés par le média d’État Sputnik.

Le chef de la délégation ukrainienne lors des pourparlers d’Istanbul, David Arakhamia, avait pour sa part désigné Boris Johnson comme coupable.

Dans un entretien avec la journaliste ukrainienne Natalia Mosseïtchouk, il avait affirmé en novembre que le Premier ministre britannique de l’époque s’était rendu à Kiev le 9 avril 2022, pour convaincre Volodymyr Zelensky de ne « rien signer du tout » avec la Russie.
Auteur : Dgidgi  
211/322

Date :    15-05-2024 17:07:06


Dernière intox russe ?
Auteur : MRFUSION  
212/322

Date :    15-05-2024 20:38:13



Libre à toi de ne pas tous lire ( différentes sources citées wall street journal die welt largement aussi crédible que BFM LCI ou Cnews ) et de continuer à te mettre de la peau de sos devant les yeux
Auteur : Dgidgi  
213/322

Date :    15-05-2024 20:43:46


c'était juste une question mais vue ta réaction ...
Auteur : MRFUSION  
214/322

Date :    15-05-2024 21:29:01


Le document secret qui aurait pu mettre fin à la guerre en Ukraine

www.youtube.com/watch?v=EM1NpjidQnM
Auteur : MRFUSION  
215/322

Date :    19-05-2024 19:52:20


Conflit Ukraine 19/05/24 : des pertes élevées et en augmentation

www.youtube.com/watch?v=TBjKUJ6kEJE
Auteur : MRFUSION  
216/322

Date :    20-05-2024 11:06:45


Géopolitique : la tension monte après la découverte par la Russie de 511 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique The Daily Digest
Article de Zeleb.es • 1 h

Si les tensions entre la Russie et l'Europe n'étaient déjà pas au beau fixe, notamment en raison de la guerre en Ukraine, une découverte majeure d'une expédition en Antarctique pourrait engendrer un nouveau conflit... cette fois avec le Royaume-Uni.

Comme le rapporte le 'Telegraph', la Russie a découvert l'une des plus grandes réserves de pétrole au monde dans l'Antarctique.

Le problème ? Il s'agit d'une région où l'exploitation et l'exploration des ressources sont interdites, sauf si elles présentent un intérêt scientifique.

Cette région est d'ailleurs protégée depuis 1959 par le traité de l'Antarctique, qui interdit spécifiquement toute prospection ou exploitation minière ou pétrolière dans sa zone d'influence.

Les tensions diplomatiques semblent inévitables. Le Royaume-Uni et l'Argentine se disputent déjà la région depuis fort longtemps.

Et pour ceux qui se demandent si cette conquête mérite un nouveau conflit international, il suffit de rappeler que la quantité potentielle de pétrole et de gaz découverte par la Russie est estimée à environ 511 milliards de barils.

Selon 'The Telegraph', c'est la société Russian Geological Exploration Holding (Rosgeo) qui a fait cette découverte historique à bord de l'Akademik Aleksandr Karpinskiy.

Entre-temps, le gouvernement britannique affirme que la Russie l'a informé que son incursion dans la zone était à des fins scientifiques, comme l'ont rapporté les médias susmentionnés.

À titre de comparaison, les 511 milliards de barils de pétrole dépassent de loin ceux détenus par le Venezuela.

Ce pays, qui possède les plus grandes réserves au monde (303 milliards), est suivi de près par l'Arabie saoudite (262 milliards).

Selon 'The Telegraph', la Russie dispose actuellement d'une réserve de 80 milliards de pétrole brut récupérable, ce qui impliquerait une multiplication par six de ce montant.

Le gouvernement de Vladimir Poutine se laissera-t-il tenter par cette découverte ou s'en tiendra-t-il à l'accord du traité sur l'Antarctique ? Telle est la question à laquelle Moscou devra répondre dans les semaines à venir.

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