Auteur : Blonde  

Où va le monde ?

@RESERVEE post 275 .Je te jure que ce n est pas moi.

Pourquoi,te sens tu visé ?
Êtes vous voisins ?

Ah, là là !

Les voisins il faut parfois se les farcir !



J'ai un souvenir qui me revient en tête d'un ancien voisin qui est parti maintenant et c'est tant mieux.

Nous avions failli nous "friter" pour une histoire de voiture, garée devant chez-moi qui soit disant gênait monsieur pour sortir de chez lui (il faisait sa manœuvre dans le mauvais sens) et en plus il mettait par dessus le marché ses sacs poubelles devant mon mur et ne voulait pas se procurer de contenaire à roulettes qui venaient d'être rendus obligatoires...

Auteur : Blonde  

Il y a les mêmes inconvénients que ce soit à la campagne ou en ville.

Celà arrive...

Auteur : GILLIAN  

Un déchaînement de violence s’est produit aux urgences du Médipôle de Villeurbanne.

Les faits se sont produits ce jeudi 3 avril aux alentours de 20h30, dans le service des urgences de la clinique Médipôle, à Villeurbanne. Selon BFM Lyon, plusieurs proches d’un patient ont violemment pris à partie une soignante, reprochant au personnel un défaut de prise en charge.

Les violences ont d’abord été verbales avant de dégénérer. Des coups ont été portés à au moins trois soignants. Deux d’entre eux ont été blessés physiquement et se sont vu prescrire dix jours d’incapacité totale de travail (ITT). Deux autres ont été fortement choqués.

Des policiers de la direction interdépartementale de la police nationale (DIPN), présents dans l’établissement pour un autre motif, ont pu intervenir rapidement. Pris à partie à leur tour, ils ont été insultés et visés par des coups. Ils ont déposé plainte.

Deux membres de la famille du patient ont été interpellés sur place et placés en garde à vue.

En réaction, la direction de la clinique a renforcé sa sécurité en mobilisant un agent supplémentaire. La préfecture du Rhône a également annoncé une intensification des patrouilles aux abords de l’établissement "en plus des agents de sécurité privée supplémentaires mobilisés."

Une cellule psychologique a été ouverte pour le personnel.

Ce samedi, le directeur de l’Agence régionale de santé (ARS) est attendu sur place. La préfète Fabienne Buccio a exprimé son "soutien total aux soignants" et salué la réactivité des forces de l’ordre.
(LYON MAG)

Auteur : Chrishelvet  

Je me rappelle que lorsque je suis aller à l'époque aux urgences car j'ai eu des crises de coliques néphrétiques ( pour les personnes qui ne savent pas ce que c'est , les douleurs sont absolument insupportable ) , j'ai demandé que si l'on peut pas me faire passer de suite , j'ai exigé que l'on me fasse des piqûres de morphine .