Auteur : Blonde  

Dangereux et ils peuvent blesser des gens

Dans quel monde vivent-ils ?

Rien fait depuis ce matin...

Auteur : GILLIAN  

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Auteur : GILLIAN  

La crise du prêt-à-porter se poursuit. Naf Naf en est la nouvelle victime puisque l’enseigne a demandé en début de semaine son placement en redressement judiciaire. Un porte-parole a confirmé l’information dévoilée par le site spécialisé Fashion Network. Naf Naf fait face à "des arriérés de paiement de loyers" accumulés durant la pandémie de Covid-19.

Lancée en 1973, la marque française avait déjà été placée en redressement judiciaire en mai 2020 avant d’être reprise par le groupe industriel Sy Corporate France. Elle affichait un chiffre d’affaires de 141 millions d’euros en 2022.

Naf Naf compte aujourd’hui 131 magasins dans toute la France. Sept d’entre eux se trouvent dans le Rhône : deux à Lyon (rue de la République et au centre commercial Westfield Part-Dieu), un à Villeurbanne, un au centre commercial Ecully Grand Ouest, un au centre commercial Saint Genis 2, un au Parc du Chanay à Saint-Bonnet-de-Mure et un dernier à Aushopping Porte des Alpes à Saint-Priest.

Auteur : Blonde  

Les restos du coeur bientôt la clé sous la porte ...un trou dans le budget.

Auteur : MRFUSION  

18500 euros c'est le prix d'une vie

Une étudiante a été tuée par un train, en gare d’Écommoy (Sarthe), le 22 février 2018. Le tribunal correctionnel du Mans a rendu sa décision ce lundi 4 septembre 2023 : le gestionnaire, SNCF Réseau, filiale de la SNCF, est jugé responsable et condamné à la peine d’amende maximale.

Une étudiante de 18 ans, Gabrielle Bazoge, a perdu la vie le soir du 22 février 2018, fauchée par un train, en gare d’Écommoy.

Poursuivie pour homicide involontaire, SNCF Réseau a de nouveau été condamné, ce lundi 4 septembre 2023 par le tribunal correctionnel du Mans (Sarthe).

La décision du tribunal avait été mise en délibéré, après l’audience du 10 juillet 2023.

Les juges n’ont pas retenu l’homicide involontaire, mais SNCF Réseau est reconnu responsable de l’accident mortel, et écope de la « peine maximale encourue », soit une amende de 18 500 €.

Le tribunal estime que le gestionnaire, filiale de la SNCF, a fait preuve d’une « inertie inacceptable », n’ayant rien fait pour améliorer la sécurité des usagers de la gare d’Écommoy, « malgré les nombreuses sollicitations ».

Le drame du 22 février 2018 est le troisième accident mortel survenu dans cette gare, après ceux de 1996 et 2011, dans des circonstances similaires. Gabrielle venait de descendre du TER en provenance du Mans quand elle a emprunté la traversée des voies pour piétons (TVP). Elle suivait un agent SNCF et une autre passagère.

« Il va falloir combien de morts pour que quelque chose d’efficace soit mis en place ? », s’est agacé le juge Loïc Waroux. En juillet 2016 déjà, le dispositif de sécurité avait été déclaré insuffisant par le tribunal.

Une passerelle ou un tunnel

Parmi les voix qui s’élèvent pour réclamer une passerelle ou un tunnel, celle du maire d’Écommoy, Sébastien Gouhier.

Or, une passerelle, c’est trois millions d’euros, avait rappelé SNCF Réseau à l’audience du 10 juillet 2023.

Le tribunal a « invité » la SNCF Réseau à engager cette dépense. La société est également condamnée à verser 3 000 € aux parents de Gabrielle Bazoge et à la passagère témoin de l’accident, au titre du préjudice subi.