Auteur : Blonde  

Les plantes soignent bien des choses.

Auteur : Blonde  

C'est une médecine naturelle.

Auteur : GILLIAN  

Une amie qui avait un cancer a refusé le traitement préconisé par la médecine traditionnelle. Influencée par des gourous et adeptes de la "médecine naturelle" qui lui ont vendu des produits à base de plante, elle est morte quelques années après d'un cancer généralisé dans d'atroces souffrances puisqu'elle refusait les médicaments...

Auteur : Dgidgi  

Oui les charlatans sont ceux qui demandent de cesser leur traitement médicamenteux.

Auteur : Dgidgi  

Sauf dans les laboratoires d'analyses où se mélangent les gens immunodéprimés, malades, et ceux qui viennent vérifier qu'ils ont le covid. Dégoutée l'infirmière et elle a bien raison

Auteur : MRFUSION  

la gouvernance par la peur n'est pas pres de s'arreter dans le pays le plus démocratique du monde

PS perrone vient de porter plainte contre le ministre de la santé pour ses pallégations supposées mensongeres tenus la semaine derniere on verra bien ce que le systeme judiciaire vat en faire

Auteur : MRFUSION  

au Monsieur ou à la Madame ??

Auteur : MRFUSION  

Vaccin papillomavirus : après un accident, l'enseignement catholique recommande la suspension Article de Europe 1 • 2j

Quelques jours avant les vacances scolaires d'automne , un élève de 5e du collège Saint-Dominique à Saint-Herblain près de Nantes (Loire-Atlantique) a fait une lourde chute qui a provoqué un traumatisme crânien, suite à un malaise survenu 15 minutes après une vaccination contre le papillomavirus au sein de son établissement, avait indiqué l'Agence régionale de santé (ARS) des Pays de la Loire.

L'ARS, qui exclut tout lien entre le vaccin et le malaise, avait annoncé la mort, le 27 octobre, de l'adolescent.

L'Agence a diligenté une enquête dont les résultats sont attendus le 8 novembre. De son côté, le parquet de Nantes a ouvert une enquête pour homicide involontaire.

Philippe Delorme dit attendre "les résultats des investigations" et réclame au ministre de la Santé et l'ARS davantage de moyens d'"encadrement", pour que "les conditions de vaccinations garantissent à 100% que ce drame ne puisse jamais se reproduire".