Un film qui raconte une histoire de la radicalité, pour le coup de l’extrême gauche en 1975, d’un homme qui l’a mise en pratique et des considérations intellectuelles qui l'entourent.

Un film qui montre, du moins ce que l’auteur en perçoit, les fêlures et de la personnalité de cet homme, de ce qui le lie à radicalité et par la même, les ambiguités et l'impasse de celle-ci.

Extrait de l’hebdomadaire Mariane 23/09/2023 - « Son (à propos Oierre Goldman) éloquence impressionne jusque dans les rangs de ses plus farouches adversaires. Son tempérament ingérable inquiète jusque dans les rangs de ses plus fidèles supporteurs. Son charisme, cette arme à double tranchant, est un atout majeur, mais il se retourne parfois contre lui qui, enivré par sa propre logorrhée, ne supporte pas la contradiction. Surtout quand cette dernière est portée par l’« ennemi de classe », par les « suppôts » de la justice ou de la police, bref, par tous ceux qui ne se situent pas dans son camp, celui de l’extrême gauche la plus radicale. »

Présentation du film sur Cinéma Lumiere « En novembre 1975, débute le deuxième procès de Pierre Goldman, militant d’extrême gauche, condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour quatre braquages à main armée, dont un ayant entraîné la mort de deux pharmaciennes. Il clame son innocence dans cette dernière affaire et devient en quelques semaines l’icône de la gauche intellectuelle. Georges Kiejman, jeune avocat, assure sa défense. Mais très vite, leurs rapports se tendent. Goldman, insaisissable et provocateur, risque la peine capitale et rend l’issue du procès incertaine. ».

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Prix de la place : 9 € plein tarif