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Date : 10-04-2024 13:12:50
Pour l’islam, trois fêtes sont concernées : l’Aïd-el-Adha, le Mawlid et l’Aïd-el-Fitr.
Ainsi, la célébration de ce mercredi permet bien aux élèves de confession musulmane (ou dont la famille est de confession musulmane) d’être absents sans que cela ne puisse leur être reproché.
Quatre autres cultes sont concernés selon la liste publiée au Bulletin officiel par l’Éducation nationale et le ministère de la Fonction publique : il s’agit des confessions arménienne, bouddhiste, juive et orthodoxe. Pour chacune d’entre elles, une à trois fêtes peuvent donner droit à une autorisation exceptionnelle d’absence pour les élèves.
Il s’agit de la fête de la Nativité, la fête des Saints Vartanants et de la Commémoration du 24 avril chez les Arméniens, la fête du Vesak pour les bouddhistes, Chavouot, Roch Hachana (deux jours) et Yom Kippour chez les juifs, et enfin la Théophanie, le Grand Vendredi Saint et l’Ascension chez les orthodoxes.
Les dates des fêtes musulmanes et bouddhistes étant fixées à un jour près, les autorisations d’absence peuvent être accordées avec un décalage d’un jour en plus ou en moins, précisent les textes en vigueur.
Par exemple, dans le calendrier de l’Éducation nationale établi pour l’année 2023-2024, l’Aïd-el-Fitr est fixé au 9 avril, mais il est précisé que la date est sujette à modification en fonction du calendrier lunaire, ce qui est le cas cette année.
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